Search
Your search for 'dc_creator:( "Arendonk, C. van" ) OR dc_contributor:( "Arendonk, C. van" )' returned 11 results. Modify search
Sort Results by Relevance | Newest titles first | Oldest titles first
al-Suʿūdī
(76 words)
, Sayf al-dīn ʿAbd al-Laṭīf b. ʿAbd Allāh, théologien, mort en 736/1335/6. Des données biographiques ne semblent pas être connues jusqu’ici. Il combattit les doctrines d’Ibn ʿArabī [
q.v] dans quelques
ḳaṣīdas qui se trouvent dans l’ouvrage d’al-Sak̲h̲āwī intitulé
al-Ḳawl al-munabbiʾ ʿan tard̲j̲amat Ibn ʿArabī, ms. Berlin, Ahlwardt,
Verzeichnis, n° 2849, cf. 7846, 4. Il est mentionné (
op. cit., n° 8379, cf. n 3658) comme l’auteur d’une prière (
duʿaʾ). (C. van Arendonk) Bibliography Brockelmann2, II, 10.
Source:
Encyclopédie de l’Islam
al-Suʿūdī
(290 words)
, Abū l-Faḍl al-Mālikī, théologien du Xe/XVIe siècle. Il écrit un ouvrage de controverse (fini en s̲h̲awwāl 942/avril 1536) contre les Chrétiens (et les Juifs) qui a été publié d’après les manuscrits de Leyde et d’Oxford par F. J. van den Ham (
Disputatio pro religione Mohammedanorum adversus Christianos, Leyde 1877-90) et qui est en substance un extrait (
muntak̲h̲ab) d’un ouvrage d’Abū l-Baḳāʾ Ṣāliḥ b. Ḥusayn al-Ḏj̲aʿfarī (écrit en l’an 618/1221) intitulé
Tak̲h̲d̲j̲īl man ḥarraf al-Ind̲j̲īl. L’auteur est vraisemblablement à identifier avec Abu l-Faḍl al-Mālikī, serviteur (
k̲h̲ād…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Suʿūdī
(148 words)
(ou Abu ʿl-Suʿūd) b. Yaḥyā b. Muḥyī al-dīn al-Mutanabbī al-ʿAbbāsī al-S̲h̲āfiʿī al-Dimas̲h̲ḳī, homme de lettres, mort à Damas en ṣafar 1127/février 1715. Il avait étudié plusieurs branches des sciences islamiques et eut parmi ses maîtres ʿAbd al-G̲h̲anī al-Nābulusī [
q.v]. al-Murādī fait mention de son
Dīwān intitulé
Madāʾiḥ al-ḥaḍarāt bi-lisān al-is̲h̲ārāt et donne quelques spécimens de sa poésie. D’après ce même auteur, al-Muḥibbī lui consacre un article dans sa
Nafḥat al-raiḥāna wa-rashḥat ṭilāʾ al-ḥāna (cf. Brockelmann2, II, 379). Son oeuvre renferme un
muwas̲h̲s̲h̲āḥ fai…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
K̲h̲as̲h̲abiyya
(715 words)
«porteurs de gourdins» était à l’origine un terme de mépris donné aux Mawālī [voir Mawlā] de Kūfa qui étaient armés de gourdins (
k̲h̲as̲h̲ab, singulatif
k̲h̲as̲h̲aba); ils formaient la plus grande partie de l’armée d’al-Muk̲h̲tār [
q.v.], et entraient en campagne sous les ordres de ses généraux, comme par exemple Ibrāhīm b. Mālik al-As̲h̲tar (Ibn Ḳutayba,
Maʿārif, éd. Wüstenfeld, 300; Ibn Rusta, dans
BGA, VII, 218, trad. Wiet, 259; al-Ṭabarī, II, 684, 1798;
Ag̲h̲ānī, I, 155; al-Masʿūdī,
Murūd̲j̲, V, 226-7 = §§ 1990-1; le même,
Tanbīh, dans
B.G.A., VIII, 313; al-Maḳdisī,
al-Badʾ
wa-l-t…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ḥātim al-Tāʾī
(837 words)
b. ʿAbd Allāh b. Saʿd, Abū Saffāna ou Abū ʿAdī, poète qui vécut dans la seconde moitié du VIe siècle de J.-C. et dont la tradition a fait le type le plus achevé du chevalier antéislamique, toujours victorieux dans ses entreprises, magnanime envers les vaincus et surtout proverbial par la façon dont il pratiquait la vertu de générosité et d’hospitalité. D’après fa légende, sa mère G̲h̲unayya (var. ʿInaba, etc.) était si généreuse que ses frères avaient dû la frapper d’interdiction; dès sa jeunesse, les prodigalité…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ibn al-Daybaʿ
(614 words)
, Abū ʿAbd Allāh ʿAbd al-Raḥmān b. ʿAlī Wad̲j̲īh al-dīn al-S̲h̲aybānī al-Zabīdī al-S̲h̲īfiʿī, historien et savant religieux arabe, naquit en 866/1461 à Zabīd et y mourut en 944/1537; les biographes plus anciens l’appellent Ibn al-Daybaʿ, mais al-Ḏj̲irāfī le dénomme simplement
al-Ḳāḍī al-Ḥāfiẓ ʿAbd al-Raḥmān al-Daybaʿ. Daybaʿ, qui signifierait «blanc» en nubien, était le
laḳab de son ancêtre éloigné ʿAlī b. Yūsuf. Ibn al-Daybaʿ, dont le père mourut en Inde sans l’avoir vu, fut élevé par son grand-père maternel à Zabīd [
q.v.], centre de l’enseignement s̲h̲āfiʿite dans la Tihā…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Salām
(2,962 words)
(a.), nom verbal de
salima, «être sauf, intact», puis comme substantif au sens de «salut, salutation»; pour les données des anciens lexicographes arabes cf.
LA sous
s-l-m passim. Le mot se rencontre souvent dans le Kurʾān, particulièrement dans des sūras attribuées à la deuxième et troisième période des révélations données à la Mekke. Le plus ancien passage qui renferme ce mot est Ḳurʾān, XCVII, 5, verset qui dit à propos de la
Laylat al-Ḳadr: Salut est-elle jusqu’au lever de l’aurore. Ce même sens du mot
salām se retrouve dans Ḳur., L, 34, XV, 46, XXI, 69, XI, 48.
Salām désigne le salut tem…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ibn Ḥad̲j̲ar al-haytamī
(953 words)
, Abū l-ʿAbbās Aḥmad b. Muḥammad b. Muḥammad b. ʿAlī b. Ḥad̲j̲ar, S̲h̲ihāb al-dīn, al-Haytamī (et non al-Hayt̲h̲amī) al-Saʿdī (des Banū Saʿd de la province de S̲h̲arḳiyya en Basse-Égypte où sa famille était établie à l’origine), savant célèbre et écrivain prolifique de l’école s̲h̲āfiʿite. En raison de l’anarchie régnant en S̲h̲arḳiyya. un de ses ancêtres surnommé Ḥad̲j̲ar à cause de son caractère taciturne partit pour le village de Maḥallat Abi l-Ḥaytam dans la province de G̲h̲arbiyya, et c’est là que naquit Ibn…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
S̲h̲arīf
(10,109 words)
(a.; mot d’emprunt en p. et t.) (pl.
as̲h̲rāf s̲h̲urafāʾ, au Mag̲h̲reb,
s̲h̲orfāʾ [
q.v.],
s̲h̲araf [rare]) «noble», «de haut rang», «éminent», [tenu en estime par les religieux ou par le monde en général] dérive de la racine
s̲h̲-r-f qui exprime l’idée d’élévation et d’importance. Son utilisation préislamique aussi bien que son utilisation plus fondamentale dans les cultures islamiques a pour objet de décrire un homme libre qui a la possibilité de prétendre à un rang élevé du fait de ses illustres ancêtres (
LA, XI, 70-1); c’est une personne de la noblesse (
s̲h̲araf moins souvent
s̲h̲urfa…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ḳahwa
(7,843 words)
, mot arabe d’origine incertaine qui, dans les différentes langues, est à la base de tous les mots employés pour désigner le café. A l’origine, il était déjà dans l’ancienne poésie la dénomination courante du vin (cf. Landberg,
Études, II, 1057 et
Ag̲h̲ānī, VI, 110, VIII, 79, XX, 180); vers la fin du VIIIe/XIVe siècle, son sens s’étendit, au Yémen, à la boisson qu’on préparait avec les fruits du caféier. L’hypothèse d’une extension de ce genre est, il est vrai, écartée par quelques auteurs, qui regardent le mot
ḳahwa, au moins lorsqu’il a le sens de «café», comme un mot d’origine a…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ahl al-Bayt
(1,021 words)
, Āl al-Bayt, «les gens de la Maison», Āl al-Nabī, «la famille du Prophète», toutes expressions synonymes; on trouve aussi
Āl-Yāsīn. L’origine de ces expressions est à rechercher dans le puissant esprit de clan des Arabes d’avant l’Islam, chez lesquels le mot
al-bayt s’appliquait à la famille des chefs de la tribu (souvenir d’un ancien privilège lui conférant la garde de l’idole tribale, selon H. Lammens,
Le culte des Bétyles, dans
L’Arabie occidentale avant l’Hégire, Beyrouth 1928, 136 sqq., 154 sqq.). Ce terme a survécu dans les siècles postérieurs sous la forme du pluriel
al-buyūtāt, …
Source:
Encyclopédie de l’Islam
