Search

Your search for 'dc_creator:( "Parry, V. J." ) OR dc_contributor:( "Parry, V. J." )' returned 87 results. Modify search

Sort Results by Relevance | Newest titles first | Oldest titles first

Bīred̲j̲ik

(1,094 words)

Author(s): Streck, M. | Parry, V.J.
, ville de Mésopotamie, sur la rive gauche de l’Euphrate. Le nom Bīred̲j̲ik (la population locale dit: Beled̲j̲ik; également, Bārād̲j̲ik, selon Sachau, dans le dialecte d’Alep) signifie «petite Bīra», c’est-à-dire «petite forteresse» (en arabe bīra, avec le suffixe diminutif turc). Le nom arabe al-Bīra ([ q.v.]; Bīreh chez les écrivains syriaques tardifs) dérive de l’araméen bīrt̲h̲ā = forteresse. Bīred̲j̲ik, connue des Romains sous le nom de Birtha, doit être identifiée (selon Cumont) avec une certaine Makedonopolis mentionnée dans certaines source…

Bes̲h̲parmaḳ

(169 words)

Author(s): Parry, V.J.
(«cinq doigts»), nom turc donné parfois aux chaînes de montagne en Asie Mineure et ailleurs. L’exemple le plus connu est le Bes̲h̲parmaḳdāg̲h̲, dans l’Asie Mineure du Sud-ouest, sur les derniers contreforts du Büyük-Menderes, chaîne de montagnes qui culmine à 1367 mètres. Cette chaîne particulière était connue autrefois sous le nom de ó ΛάτµοΣ. La région devint, au moyen âge, un centre actif de vie religieuse chrétienne, qui fleurit jusqu’au moment où les Turcs soumirent l’Asie Mineure occidentale, aux XIII…

Bārūd

(16,027 words)

Author(s): Colin, G. S. | Ayalon, D. | Parry, V. J. | Savory, R. M. | Khan, Yar Muhammad
I. — Généralités. En arabe, le mot nafṭ (persan naft) s’applique à la forme la plus pure ( ṣafwa) du bitume de Mésopotamie ( ḳīr – ou ḳārbābilī). Il est naturellement ¶ blanc. On en rencontre parfois du noir que l’on peut blanchir en le sublimant. Le

Ḳamāniča

(548 words)

Author(s): Parry, V.J.
(Kamieniec, Kamenetz Podolski), ville fortifiée de l’Ukraine, dans la région de Podolie, qui prit de l’importance lorsqu’elle devint la place forte protégeant la frontière Sud de la Lithuanie et, après 1432, de la Pologne, contre les incursions des Tatars, en même temps qu’elle constituait une étape sur la route commerciale reliant la mer Noire et la Moldavie à la Pologne et à la Baltique. La forteresse occupait une excellente position défensive sur un éperon rocheux élevé, légèrement au-dessus du confluent du Smotric et du Dniestr (cf. Dupont, 29. qui la qualifie de «boulevard de la Chrétienté dans cette partie de l’Europe»). Les troupes ottomanes se présentèrent devant Ḳamānič…

Ismāʿīl

(998 words)

Author(s): Menzel, Th. | Parry, V.J.
(Izmail), ville-forteresse ottomane située dans la région du Bud̲j̲aḳ [ q.v.] en Bessarabie, sur la rive gauch…

Ḥāfiẓ Aḥmed Pas̲h̲a

(646 words)

Author(s): Parry, V. J.
(m. 1041/1632), grand-vizir ottoman, dont la date de naissance est inconnue. Simone Contarini, dans sa relazione de 1612 à la Signoria de Venise, déclare qu’il avait alors une quarantaine d’années (Barozzi et Berchet, I, 146: «…..Cabil bassa già capitan del Mare che regge ora Damasco sarà di 40 anni ....»). Dans l’

Ḥiṣār

(16,289 words)

Author(s): Cahen, Cl. | Colin, G. S. | Bosworth, C. E. | Ayalon, D. | Parry, V. J. | Et al.
, siège. Les articles suivants traitent de la guerre de siège. Sur les fortificatiops, voir Burd̲j̲, Ḥiṣn, Ḳalʿa et sūr. I. –– Généralités. La guerre de siège était une des formes essentielles de la guerre, lorsqu’il s’agissait de conquête et non de simples razzias, dans des pays où, depuis l’antiquité, la plupart des grandes villes s’abritaient derrière des murailles et où, de plus en plus, au cours du moyen âge, le plat-pays fut tenu à partir de forteresses [voir Ḥiṣn et Ḳalʿa]. Bien que les effectifs fussent rarement suffisants pour assurer un investissement parfait, ils bloquaient les voies normales d’accès à la place assiégée et obtenaient donc la reddition par la famine ou la crainte de famine, si des secours extérieurs portés aux assiégés ou une sortie exécutée par eux n’avait dispersé l’assaillant; néanmoins, les stocks permettaient aux assiégés de tenir assez longtemps, si l’espérance de secours et l’attachement à leur prince soutenaient leur moral, et il arri…

Čig̲h̲āla-zāde (Ḏj̲ig̲h̲āla-zāde) Yūsuf Sinān Pas̲h̲a

(1,083 words)

Author(s): Parry, V. J.
(vers 1545-1605), connu également sous le nom de Čag̲h̲al (Ḏj̲ag̲h̲āl)-Og̲h̲lu, appartenait à la famille génoise des Cicala. Il naquit à Messine, en Sicile, et reçut le prénom de Scipion; son père, le vicomte di Cicala. était, d’après Gerlach, un «corsaire» au service de l’Espagne, tandis que sa mère aurait été (cf. L’Ottomanno de L. Soranzo) une «Turca da Castelnuovo ». Le vicomte et son fils, capturés en mer par des corsaires musulmans en 968/1561 (certaines sources donnent l’année 967/1560), furent emmenés d’abord à Tripoli de Barbarie, puis à Istanbul. Le père fut racheté au bout d’un certain temps et, après avoir vécu quelque temps à Beyoğlu, il retourna à Messine, où il mourut en 1564. Son fils Scipion se fit cependant musulman et fut instruit au palais impérial, où il parvint a…

Derwīs̲h̲ Pas̲h̲a

(309 words)

Author(s): Parry, V. J.
(?-1015/1606), grandvizir ottoman, d’origine bosniaque. Il servit dans le corps des Bostānd̲j̲i̊s, en devint ketk̲h̲udā, puis, grâce à la faveur de la Wālide Sulṭān, il fut promu au grade de bostānd̲j̲i̊ bas̲h̲i̊ en 1013/1604. Derwis̲h̲ Pas̲h̲a était chargé d…

Bāndirma

(237 words)

Author(s): Parry, V. J.
, port de la mer de Marmara proche de l’emplacement de l’ancienne Cyzicus. Le nom grec médiéval de la ville était Panormos. Villehardouin mentionne un château appelé «Palorme» que les Croisés latins fortifièrent en 1204. Ils l’utilisèrent par la suite comme base d’opérations contre les Grecs dans le Nord-ouest de l’Asie Mineure. Sous la domination ottomane, Bāndirma fut incluse dans le sand̲j…

Ḥarb

(27,513 words)

Author(s): Khadduri, M. | Cahen, Cl. | Ayalon, D. | Parry, V.J. | Bosworth, C.E. | Et al.
(A.) «guerre». I. — Aspect juridique. Ḥarb peut signifier soit combat ( ḳitāl) au sens matériel, soit «état de guerre» entre deux ou plusieurs groupes, les deux sens étaient implicites dans l’ordre juridique de l’Arabie préislamique. A défaut d’autorité organisée, la guerre était devenue la base des relations inter-tribales, et la paix ne régnait que quand deux ou plusieurs tribus étaient convenues de la maintenir. En outre, la guerre servait à l’exercice de la vendetta et des représailles. Le désert, propi…

Bālṭa Līmānī

(314 words)

Author(s): Parry, V. J.
, située sur la côte européenne du Bosphore entre Boyaci̊-Köyü et Rurneli Hisari̊, tire son nom de Bālṭa-og̲h̲lū Sulaymān Beg, qui commandait la flotte ottomane à l’époque de la prise de Constantinople en 1453. C’est en réalité l’antique Phaidalia, qui portait également le nom de Gynaikōn Limēn (Portus Mulierum). Gyllius, au milieu du XVIe siècle, en parle comme du «. . . sinum Phidaliae, et portum mulierum... », que les Grecs appelaient Sarantacopa…

Balāṭ

(385 words)

Author(s): Parry, V. J.
, petit village qui occupe aujourd’hui le site de l’antique Milet, en Carie. Le mot Balāṭ vient de Παλάτια, nom qu’a porté cette localité tout au moins depuis les premières années du XIIIe siècle. Balāṭ tomba au pouvoir des Begs de Mentes̲h̲e [ q.v.] vers la fin de ce siècle, et, grâce à sa position favorable près de l’embouchure du Méandre (Büyük Menderes), leur servit de point de départ pour leurs expéditions de corsaires en mer Egée, et devint par la suite un centre commercial d’une …

Bāybūrd

(509 words)

Author(s): Parry, V.J.
(Bayburt), ville connue sous les Byzantins à l’époque de Justinien sous le nom de βαɩβɛρδών, située sur le Čuruḳ-Ṣū, à environ 100 km. au Nord-ouest d’Erzurum. Les Turcs Sald̲j̲ūḳides dévastèrent cette région dans les années 446-47/1054-55- Après la bataille de Manzikert en 463/1071, Bāybūrd tomba sous la domination des Turcs, tantôt sous celle des Sai̊tukides à Erzurum, tantôt sous celle des Dānis̲h̲mendides à Sivas, bien que les Byzantins, qui tenaient encore Trébizonde, aient repris en fait la ville pendant un certain temps sous le règne d’Alexis Ier Comnène. Aux XIIIe et XIVe s., …

Ḏj̲erīd

(752 words)

Author(s): Parry, V. J.
, trait ou javelot de bois employé dans le jeu de d̲j̲erīd (d̲j̲erīd oyunu en ṭurc et, en arabe d’Égypte, l…

Bāyazīd II

(2,618 words)

Author(s): Parry, V.J.

Ḏj̲aʿfar Beg

(229 words)

Author(s): Parry, V.J.
(m. 926/1520) — le «zafir agà, eunuco» enregistré dans l’index à Marino Sanuto, ¶ Diarii, XXV, col. 832 — sand̲j̲aḳ beg de Gallipoli, c’est-à-dire Ḳapudān ou amiral en chef des forces navales ottomanes. Il fut nommé à cette fonction non point (comme le disent le Ḳāmūs al-aʿlām et le Sid̲j̲i…

Istōlnī (Istōnī) Belg̲h̲rad

(616 words)

Author(s): Parry, V.J.
(également Ustōlnī, Ustōnī Belg̲h̲rād; serbe: Stolni Belgrad; allemand, Stuhlweissenburg; latin: Alba Regia; hongrois: Székesfehérvár), place forte située au Sud-ouest de Buda, où, du Xe au XVIe siècle de J.-C, les rois de Hongrie furent couronnés, en l’église de Saint-Étienne, et où ils furent inhumés. Istōlnī Belg̲h̲rād ( beyāẓ iskemle ḳalʿesi, selon les termes d’Ewliyā Čelebī, VII, 55) était à l’endroit où le Sarvisius (Isthvanfius, 267, cf. Nehr-i S̲h̲ārwīz dans Ewliyā Čelebi, VII, 63), débouchant du lac Balaton, se répandait pour former d…

Dāwūd Pas̲h̲a

(630 words)

Author(s): Parry, V. J.
, Ḳara (m. 1032/1623), grand-vizir ottoman. L’année de sa naissance est incertaine, mais dans une «relazione» présentée à la Signoria en 1612, Simone Contarini, qui avait été bailo vénitien à Istanbul, mentionne un Dāwūd Pas̲h̲a qu’il décrit comme d’origine croate et âgé à l’époque d’environ 46 ans. Cependant, d’après les sources ottomanes, Ḳara Dāwūd Pas̲h̲a était d’origine bosniaque. Instruit dans les écoles du Palais, il fut ensuite nommé čuḳadār ( cuhadar). Sous le règne de Meḥemmed III (1003-12/1595-1603), il devint ḳapi̊d̲j̲i̊ bas̲h̲i̊ et, par la suite, sous ce…

Eǧri

(1,415 words)

Author(s): Parry, V. J.
(T. Eǧri; hong. Eger; allem. Erlau; lat. etital. Agria), ancienne ville de Hongrie, à 110 km. au Nord-est de Buda, près du massif de Bükk, c’està-dire des contreforts orientaux des montagnes de Matrá, et sur l’Eger qui se jette dans la Tisza (Theiss). Eǧri fut soumis à la domination ottomane de 1005 à 1099/1596-1687. Les Ottomans, en 959/1552, prirent Temesvár et Szolnok (important par la suite comme base de concentration de troupes et d’approvisionnements en vue de la conquête, puis de la conservation d’Eǧri), et mirent le siège devant Eǧri lui-mê…
▲   Back to top   ▲