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Your search for 'dc_creator:( Robson, AND J ) OR dc_contributor:( Robson, AND J )' returned 47 results. Modify search
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Ḥadīt̲h̲ Ḳudsī
(716 words)
(tradition sainte ou sacrée), appelé aussi
ḥadīt̲h̲ ilāhī ou
rabbānī (tradition divine), est une catégorie de traditions contenant des mots prononcés par Dieu, par opposition au
ḥadīt̲h̲ nabawī (tradition prophétique) qui transmet les paroles du Prophète. Bien que le
ḥadīt̲h̲ ḳudsī soit censé contenir la parole de Dieu, il diffère du Ḳurʾān qui a été révélé par l’entremise de Gabriel, est inimitable, récité dans la
ṣalāt, et ne peut être touché ou récité par quelqu’un qui ne s’est pas rituellement purifié. Le
ḥadīt̲h̲ ḳudsī ne vient pas nécessairement par l’entremise de Gabrie…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Abū Dāʾūd al-Sid̲j̲istānī
(577 words)
, Sulaymān b. al-As̲h̲ʿat̲h̲, traditionniste, né en 202/817. II fit de longs voyages à la recherche de la science et s’attira une grande réputation de science et de piété. Il s’installa à Baṣra, et c’est sans doute la raison pour laquelle on a affirmé à tort que la
nisba Sid̲j̲istānī dérive d’un village voisin de Baṣra et appelé Sid̲j̲istān (ou Sid̲j̲istāna), et non de la province du même nom. Il mourut en s̲h̲awwāl 275/février 889. Le principal ouvrage d’Abū Dāʾūd est son
Kitāb al-Sunan, qui est un des six recueils canoniques de Traditions adoptés par les Sunnites. On dit qu’…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Isnād
(106 words)
, chaîne d’autorités, partie essentielle de la transmission d’une tradition. Dans les premiers temps, la nécessité ne s’en fit pas sentir, mais au fur et à mesure que passait le premier siècle de l’Islam, on éprouva de plus en plus le besoin d’indiquer l’autorité sur laquelle on s’appuyait. Les recueils de traditions qui ont été élaborés surtout à partir du IIIe/IXe siècle donnent des
isnāds complets. (J. Robson) Bibliography voir la bibl. des art. al-Ḏj̲arḥ ¶ wa-l-Taʿdīl et Ḥadīt̲h̲ et y ajouter: Fazlur Rahman,
Islam, Londres 1966, chap. 3,
passim et Nabia Abbott,
Studies in Arabie lit…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ibn Abī Ḥad̲j̲ala
(474 words)
, Abu ’l-ʿAbbās Aḥmad b. Yaḥyā S̲h̲ihāb al-Dīn al-Tilimsānī , a poet and prose writer. He was born at Tilimsān in 725/1325 in the
zāwiya of his grandfather, who is said to have been given the nickname Abū Ḥad̲j̲ala (lit. ‘partridge’s father’) because a partridge laid an egg on his sleeve. Ibn Abī Ḥad̲j̲ala left Tilimsān for Cairo, then performed the Pilgrimage, after which he went to Damascus where he studied
adab , in which he became proficient. He wrote a number of
maḳāma s and many works in poetry and prose, a number of which are extant (see Brockelmann…
Ibn Abī Ḥad̲j̲ala
(432 words)
Abū l-ʿAbbās Aḥmad b. Yaḥyā S̲h̲ihāb al-dīn al-Tilimsānī, poète et prosateur arabe. Né à Tlemcen/en 725/1325, dans la
zāwiya de son grand-père (qui aurait reçu le surnom d’Abū Ḥad̲j̲ala parce qu’une perdrix avait pondu un ¶ œuf dans sa manche), il quitta sa ville natale pour le Caire, accomplit le pèlerinage et alla à Damas étudier l’
adab, branche dans laquelle il excella. Il écrivit un certain nombre de
maḳāmas et de nombreux ouvrages en vers et en prose dont quelques-uns existent encore (voir Brockelmann). Il devint le supérieur d’un couvent ṣūfī situé à l’ext…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Anas b. Mālik
(410 words)
abū ḥamza , one of the most prolific traditionists. After the
hid̲j̲ra his mother gave him to the prophet as servant; according to his own statement he was then ten years of age. He was present at Badr, but took no part in the battle, and is therefore not counted among the combatants. He remained in Muḥammad’s service up to the time of the Prophet’s death; later he took part in the wars of conquest. He also played small parts in the civil wars. In the year 65/684 he officiated as
imām of the
ṣalāt at Baṣra oh behalf of the rival caliph ʿAbd Allāh b. al-Zubayr. When …
Anas b. Mālik
(388 words)
, Abū Ḥamza, un des plus féconds traditionnistes. Après l’hégire, sa mère l’offrit au Prophète comme serviteur, alors que, selon son propre témoignage, il était âgé de dix ans. Il était présent à Badr, mais ne prit pas part à la bataille, et c’est pourquoi il n’est pas compté au nombre des combattants. Jusqu’à la mort de Muḥammad, il resta à son service, puis il participa aux guerres de conquête. En 65/684, il dirigea la
ṣalāt à Baṣra en faveur de l’anti-calife ʿAbd Allāh b. al-Zubayr. Pendant la révolte de ʿAbd al-Raḥmān b. al-As̲h̲ʿat̲h̲, al-Ḥad̲j̲d̲j̲ād̲j̲ lui repro…
Source:
Encyclopédie de l’Islam