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Your search for 'dc_creator:( "Khadduri, M." ) OR dc_contributor:( "Khadduri, M." )' returned 10 results. Modify search
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Ṣulḥ
(1,352 words)
(a.), an abstract noun from the verb
ṣaluḥa or
sạlaḥa “to be sound, righteous”, denotes the idea of peace and reconciliation in Islamic law and practice. The purpose of
ṣulḥ is to end conflict and hostility among believers so that they may conduct their relationships in peace and amity. In the relationship between Muslim and non-Muslim communities, the purpose of
ṣulḥ is to suspend fighting between them and establish peace, called
muwādaʿa (peace or gentle relationship), for a specific period of time. In Islamic law
ṣulḥ is a form of contract (
ʿaḳd ), legally bind…
Hudna
(1,037 words)
, abstract noun from the root
h.d.n. with the sense of “calm”, “peace”. Other terms which have the same meaning are
muwādaʿa ,
muṣālaḥa ,
musālama , and
mutāraka , the general meaning of which in Islamic law is the abstention of the parties concerned from hostilities against each other. The process of entering into a peace agreement with the enemy is called
muhādana or
muwādaʿa, but the instrument of peace is
hudna (peace agreement). In Islamic legal theory, normal relations between the
dār al-Islām [
q.v.] and the
dār al-ḥarb [
q.v.] were not peaceful, and there existed a state of lat…
Maṣlaḥa
(1,767 words)
, the concept in Islam of the public interest or welfare.
Maṣlaḥa (pl.
maṣāliḥ ) is the abstract noun of the verb
ṣalaḥa (or
ṣaluḥa ), “to repair or improve”. Strictly speaking,
maṣlaḥa , like
manfaʿa , means “utility” and its antonyms are
maḍarra and
mafsada (“injury”); but generally speaking,
maṣlaḥa denotes “welfare” and is used by jurists to mean “general good” or “public interest”. Anything which helps to avert
mafsada or
ḍarar and furthers human welfare is equated with
maṣlaḥa. As a legal concept,
maṣlaḥa must be distinguished from
istiṣlāḥ , a method of legal reasoning through which
ma…
Ṣulḥ
(1,368 words)
(a), nom abstrait tiré du verbe
ṣaluḥa ou
ṣalaḥa, «être juste, droit», traduisant l’idée de paix et de réconciliation dans le droit et la pratique islamiques. L’objectif du
ṣulḥ est de mettre fin aux conflits et aux hostilités entre les croyants de sorte qu’ils entretiennent des relations paisibles et amicales. Pour ce qui est des relations entre les communautés musulmanes et non musulmanes, le
ṣulḥ consiste à suspendre les conflits qui surviennent entre elles et à établir la paix, appelée
muwādaʿa (relations de paix ou sans heurts) durant une certaine période. Dans le droit musulman, le
ṣ…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Hudna
(1,031 words)
(a,), nom abstrait tiré de la racine
H.D.N. qui implique une idée de calme, de paix; d’autres termes de sens voisin sont
muwādaʿa, muṣālaḥa, musālama et
mutāraka dont la signification générale en droit musulman est que les parties intéressées s’abstiennent de toute hostilité entre elles. Le processus conduisant à un traité de paix avec l’ennemi est appelé
muhādana ou
muwādaʿa, mais l’instrument de la paix est la
hudna (traité de paix). Dans la théorie juridique de l’Islam, les relations normales entre le
dār al-Islām et le
dār al-ḥarb [
q.vv.] n’étaient point pacifiques, et il exist…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Maṣlaḥa
(1,750 words)
(a., pl.
maṣāliḥ) implique la notion d’intérêt public ou de bien-être. Nom abstrait du verbe
ṣala.uḥa «réparer ou améliorer»,
maṣlaḥa signifie à proprement parler, comme
manfaʿa, «utilité», et ses antonymes sont
maḍarra et
mafsada « tort, dommage», mais, d’une façon générale, ce terme est pris dans le sens de «bien-être», et les juristes l’emploient avec celui de «bien ou intérêt public». Tout ce qui contribue à écarter la
mafsada ou le aarar et accroît le bien-être humain est considéré comme
maṣlaḥa. En tant que concept juridique, la
maṣlaḥa doit être distinguée de l’
istiṣlāḥ , méthod…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Dustūr
(44,090 words)
désigne, en arabe moderne, une Constitution. Ce terme d’origine persane semble avoir désigné à l’origine une personne exerçant une autorité, religieuse ou politique, avant d’être spécialement appliqué aux membres du clergé zoroastrien. Il apparaît dans
Kalīla wa-Dimna avec le sens de «conseiller» et reparaît avec la même acception, à une date bien postérieure, dans l’expression
Dustūr-i mükerrem, l’un des titres honorifiques du grand-vizir de l’empire ottoman. Plus communément,
dustūr était employé avec le sens de «règle» ou «règlement» et désignait en particuli…
Source:
Encyclopédie de l’Islam
Ḥarb
(27,665 words)
, war. i.— Legal Aspect
Ḥarb may mean either fighting (
ḳitāl ) in the material sense or a “state of war” between two or more groups; both meanings were implied in the legal order of pre-Islamic Arabia. Owing to lack of organized authority, war became the basis of inter-tribal relationship. Peace reigned only when agreed upon between two or more tribes. Moreover, war fulfilled such purposes as vendetta and retaliation. The desert, adapted to distant raids and without natural frontiers, rendered the Arabs habituated to warfare and fighting became a function of society. Islam, prohibiting …
Dustūr
(44,385 words)
, in modern Arabic constitution. A word of Persian origin, it seems originally to have meant a person exercising authority, whether religious or political, and was later specialized to designate members of the Zoroastrian priesthood. It occurs in
Kalīla wa-Dimna in the sense of “counsellor”, and recurs with the same sense, at a much later date, in the phrase
Dustūr-i mükerrem , one of the honorific titles of the Grand Vizier in the Ottoman Empire. More commonly,
dustūr was used in the sense of “rule” or “regulation”, and in particular the code of ru…
Ḥarb
(27,513 words)
(A.) «guerre». I. — Aspect juridique.
Ḥarb peut signifier soit combat (
ḳitāl) au sens matériel, soit «état de guerre» entre deux ou plusieurs groupes, les deux sens étaient implicites dans l’ordre juridique de l’Arabie préislamique. A défaut d’autorité organisée, la guerre était devenue la base des relations inter-tribales, et la paix ne régnait que quand deux ou plusieurs tribus étaient convenues de la maintenir. En outre, la guerre servait à l’exercice de la vendetta et des représailles. Le désert, propi…
Source:
Encyclopédie de l’Islam