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Ḥizb

(24,278 words)

Author(s): Kedourie, E. | Rustow, D. A. | Banani, A. | Kazemzadeh, F. | Spuler, B. | Et al.
«parti politique». L’emploi du mot ḥizb dans le sens de parti politique est récent et ne remonte qu’aux environs du début du XXe siècle, mais cette acception est, dans une certaine mesure, une extension naturelle et légitime de son sens traditionnel et classique [voir l’article précédent] que l’on trouve dans les dictionnaires du XIXe siècle. Ainsi, le Dictionnaire de Kazimirski (1860) traduit ḥizb par «troupe d’hommes», le Lexicon de Lane (1863 sqq.) par «groupe ou compagnie d’hommes réunis du fait d’un événement à eux survenu»; le Muḥīṭ de Bustānī le définit par ṭāʾifa; le Supplément d…

Ḏj̲ays̲h̲

(12,125 words)

Author(s): Cahen, Cl. | Cour, A. | Kedourie, E.
, l’un des termes arabes usuels (avec d̲j̲und et ʿaskar) pour désigner l’armée. I. L’Arabie préislamique, tout en ayant vécu dans des conditions de petite guerre permanente, n’a connu d’armée spécifique qu’en cas d’occupation étrangère ou peut-être au Yémen. Les luttes entre tribus y mettaient en action virtuellement tous les hommes valides, mais sans organisation militaire, et les combats le plus souvent s’y résolvaient en exploits singuliers. Un embryon d’armée apparaît, si l’on veut, avec l’Islam, dans les expéditions conduites ou préparées par le Prophète, bien que le d̲j̲ihād

K̲h̲alīl G̲h̲ānim

(375 words)

Author(s): Kedourie, E.
(1846-1903), journaliste et écrivain. Né à Beyrouth de parents maronites, il fit ses études à l’école lazariste de ʿAynṭūra où il apprit le français et l’anglais, ainsi que l’arabe et le turc. Il commença sa carrière en 1862 comme membre du tribunal de commerce de Beyrouth, puis fut nommé drogman à la mutaṣarrifiyya de sa ville natale, puis au vilayet de Syrie. Un wālī sous les ordres de qui il avait servi, Saki̊zli̊ Aḥmad Asʿad, le nomma drogman au ministère des Affaires Étrangères quand il occupa pendant peu de temps, en 1873, les fonctions de grand-vizir…