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Mīrzā
(548 words)
ou Mirzā, titre persan qui est une forme abrégée de
Mīr-zāda ou
Amīr-zāda, signifiant à l’origine «né d’un prince» (cf.
Malik-zāda et
Farhang-zāda, que l’on trouve chez Saʿdī, etc.). — 1. Dans l’usage persan. Ce titre, outre sa signification originale, était également attribué à des nobles et des gens de bonne naissance; il correspond ainsi au turc
ag̲h̲a. Depuis l’époque de la conquête de l’Inde par Nādir S̲h̲āh, il fut en outre appliqué à des hommes instruits en dehors de la classe des
mullās ou
ʿulamāʾ. A l’époque moderne seulement, ce titre se place après le nom d’un prince,…
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Encyclopédie de l’Islam
Pist
(60 words)
(p.), sorte de mets composé de foies de gazelles ou d’amandes, etc. Une portion journalière de la grosseur d’une pistache (
pista) est prise par les derviches et d’autres personnes qui entreprennent de longs jeûnes, par ex. la
čilla ou jeûne de quarante jours, et elle suffit à conserver la vie. (R. Levy) Bibliography Vullers,
Lexicon Persico-Latinum, s.v.
pist,
čilla.
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Encyclopédie de l’Islam
Mustawfī
(679 words)
(a.), fonctionnaire de l’administration islamique médiévale chargé de la comptabilité et agissant ainsi en tant que comptable général. Le titre a commencé à être employé universellement dans les régimes qui ont succédé au califat ʿabbāside. Sous les G̲h̲aznawides. le
mustawfī l-mamālik était responsable devant le vizir et tenait les comptes des recettes et des dépenses dans le
dīwān-i wazīr (M, Nāẓim,
The lift and times of Sulṭān Maḥmūd of Ghazna, Cambridge 1931, 132). Sous les Grands Sald̲j̲ūḳides, par ex. à l’époque de Niẓām al-mulk [
q.v.], le
mustawfī ne le cédait en importanc…
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Encyclopédie de l’Islam
Pūst
(177 words)
(p.), peau, turc
pōst ou
pōstakī, peau de mouton tannée employée comme siège de cérémonie ou trône d’un
pīr ou
s̲h̲ayk̲h̲ d’une confrérie de derviches. La tête, les côtés et les pieds ont reçu des significations mystiques.
Pūst correspond à l’arabe
bisāṭ. D’après Ewliyā Čelebi (Istanbul 1314/1896-7, I, 495), le
murīd, après avoir passé un examen devant le
pīr, est appelé
ṣāḥib pūst. Lors de cérémonies dans la confrérie des Bektās̲h̲is, la salle ou le couvent aurait eu le sol recouvert de douze
pūsts de cuir blanc en souvenir des douze Imâms, ou représentant symboliquement douz…
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Encyclopédie de l’Islam
Nawrūz
(1,375 words)
(p.), jour de l’an. — I. Dans les pays islamiques du centre. Ce terme se présente fréquemment dans les ouvrages arabes sous la forme
Nayrūz, qui apparaît déjà chez al-Ak̲h̲ṭal [
q.v.] (voir al-Ḏj̲awālīḳī,
Muʿarrab, éd. A. M. S̲h̲ākir, Téhéran 1966; al-Ḳalḳas̲h̲andī,
Ṣubḥ al-aʿs̲h̲ā, II, 408). C’est le premier jour de l’année solaire persane, et il n’a pas d’équivalent dans l’année lunaire islamique (al-Masʿūdī,
Murūd̲j̲., III, 416-17 = §§ 1301-2). A l’époque achéménide, l’année officielle commençait au Nawrūz, quand le soleil entre dans le signe du Bélier (é…
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Encyclopédie de l’Islam
Anwarī
(480 words)
,
tak̲h̲alluṣ d’Awḥad al-dīn Muḥammad b. Muḥammad (? ou ʿAlī b. Maḥmūd) Ḵh̲āwarānī, que l’on proclama, dans un
bayt bien connu, le maître de la
ḳaṣīda persane. On sait peu de chose de certain sur sa vie, hors le fait qu’il devint l’un des poètes de cour du sultan sald̲j̲ūḳīde Sand̲j̲ar (m. 1157) vers la fin dela vie du prince, et qu’il écrivait des
ḳaṣīdas en 540/1145 — deux portent cette date — époque à laquelle il devait être encore fort jeune. Il était né dans le district de Ḵh̲āwarān, au Ḵh̲urāsān, et il fit une partie de ses études à la madrasa Manṣūriy…
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Encyclopédie de l’Islam
Pāʾ
(413 words)
ou
bāʾ-i fārsī ou
bāʾ-
i ʿad̲j̲amī: bāʾ avec trois points souscrits, inventé pour le persan comme supplément au
bāʾ arabe et pour représenter la bilabiale sourde par opposition à la sonore
b [voir Bāʾ]. Ce phonème est parfois permutable avec le
bāʾ (par ex.
asp et
asb; dapīr et
dabīr), et plus fréquemment avec le
fāʾ (par ex.
sapīd et
safīd; Pārs et
Fārs). L’emploi usuel de cette lettre dans les manuscrits est relativement moderne, mais on la trouve dans de bons exemplaires du VIIe/XIIIe siècle, alors que parallèlement, son emploi fait souvent défaut dans des manuscrits de date …
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Encyclopédie de l’Islam
Mīr
(241 words)
, titre persan qui est une forme abrégée de l’arabe
amīr et s’en approche par le sens, de même que du titre de
mīrzā [
q.v.]. (Sur la suppression de Iʾ
alif initial, cf. Bū Sahl pour Abu Sahl, etc.). De même que le titre d’amīr, celui-ci s’applique aux princes (Manūèihrī, éd. A. de Biberstein-Kazimirski,
Menoutchehri poète persan du onzième siècle de notre ère, Paris 1886, 96, en parlant de Masʿūd de G̲h̲azna, l’appelle «Mïr»), mais il est porté également par des poètes et autres hommes de ïettres (p. ex. Mīr ʿAlī S̲h̲īr, Mīr Ḵh̲wānd. Mī Muḥsin; cf. l’article suivant). Dans l’Inde et au …
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Encyclopédie de l’Islam