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Sīmurg̲h̲

(597 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(p.), the name of a mythical bird. There are two passages in the Avesta referring to the “bird Saēna-” ( mərə γ ō saēnō ; Yašt 14: 41) or the “tree of Saēna-” ( vanam yam saēnahe ; Yašt 12: 17); the latter specifies that this tree stands in the middle of Lake Vourukaša, that its name is “all-remedies” and that it bears the seeds of all plants. The word saēna is etymologically identical with Sanskrit śyēná- , “eagle, falcon”, but it is not clear from the two Avestan passages whether it designates a species of bird (though the fact that Saēna- is used…

Wīs u Rāmīn

(510 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, a long narrative poem in Persian by Fak̲h̲r al-Dīn Asʿad Gurgānī [ q.v.], written not long after 441/1050 and dedicated to Abū Naṣr b. Manṣūr, the governor of Iṣfahān on behalf of the Sald̲j̲ūḳids. The story, which is set in the distant and unspecified past, deals with the love affair between Wīs, the wife of King Mōbad of Marw, and Rāmīn, her husband’s younger brother. It tells of how the two lovers meet, how they are eventually discovered, and how Rāmīn rises in rebellion against his brother, in the end …

Taḳī al-Dīn

(413 words)

Author(s): Blois, F.C. de
Muḥammad b. S̲h̲araf al-Dīn ʿAlī al-Ḥusaynī al-Kās̲h̲ānī, commonly called Taḳī Kās̲h̲ī , Persian scholar of the 10th-11th/16th-17th centuries. He was a pupil of the poet Muḥtas̲h̲am Kās̲h̲ī, whose dīwān he edited. His fame rests on his monumental compendium of Persian poetry K̲h̲ulāṣat al-as̲h̲ʿār wa-zubdat al-afkār , of which the first version was completed in 993/1585 and the enlarged second version in 1016/1607-8. It contains notices of well over 600 poets from the 5th/11th century up to the author’s own contempora…

Sid̲j̲ill

(7,408 words)

Author(s): Blois, F.C. de | Little, D.P. | Faroqhi, Suraiya
(a.). 1. Ḳurʾānic and early Arabic usage. Sid̲j̲ill is an Arabic word for various types of documents, especially of an official or juridical nature. It has long been recognised (first, it seems, by Fraenkel) that it goes back ultimately to Latin sigillum , which in the classical language means “seal” (i.e. both “sealmatrix” and “seal-impression”), but which in Mediaeval Latin is used also for the document to which a seal has been affixed; it was borrowed into Byzantine Greek as σιγίλλ(ι)ον, “seal, treaty, imperial edict”, and then, via Aramaic (e.g. Syriac sygylywn

Sayfī ʿArūḍī Buk̲h̲ārī

(207 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, a Persian prosodist and minor poet at the Tīmūrid court in Harāt during the second half of the 9th/15th century. He is remembered for his text-book of Persian prosody ʿArūḍ-i Sayfī , which he completed in 896/1491; this has been published several times in India, notably with an English translation and extensive commentary in H. Blochmann’s The prosody of the Persians according to Saifi , Jami , and other writers, Calcutta 1872, a work which played an important role in making Persian poetical theory accessible to European students. But now that older and more det…

S̲h̲ahr

(177 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(p.) “town”. The word goes back to Old Persian xšaça- (cf. Avestan xšaθra- , Sanskrit kṣatrá- ; all from the same root as New Persian s̲h̲āh [ q.v.]), “kingship, royal power”, thence “kingdom”. The latter meaning is still the usual one for Middle Persian s̲h̲ahr and it survives in the S̲h̲āh-nāma , especially in set phrases such as s̲h̲ahr-i Ērān (used metri causa instead of Ērān-s̲h̲ahr “kingdom of the Aryans”, the official name of the Sāsānid empire), s̲h̲ahr-i Tūrān , s̲h̲ahr-i Yaman , etc. But already in the earliest New Persian texts, the usual mean…

Wīs u Rāmīn

(511 words)

Author(s): Blois, F. C. de
, long poème narratif en persan de Fak̲h̲r al-dīn Asʿad Gurgānī [ q.v.], écrit peu après 441 /1050 et dédié à Abū Naṣr b. Manṣūr, gouverneur d’Iṣfahān au nom des Sald̲j̲ūḳides. Le conte, qui se passe dans un passé lointain non précisé, traite de l’histoire d’amour entre Wīs, femme du Roi Mōbad de Merv, et Rāmīn, le jeune frère de son mari. Il raconte comment les deux amants se rencontrent, comment ils sont découverts par la suite, et comment Rāmīn se rebelle contre son frère, s’emparant finalement du trône …

Sald̲j̲ūḳides

(49,634 words)

Author(s): Bosworth, C.E. | Bosworth, C.E | Hillenbrand, R. | Rogers, J.M | Blois, F.C.De | Et al.
, dynastie turque de l’Islam médiéval qui, au sommet de son pouvoir pendant les Ve-VIe/XIe-XIIe siècles, régnait, soit directement soit par des princes vassaux, sur une vaste région de l’Asie de l’Ouest s’étendant de la Transoxanie, du Farg̲h̲āna, du Semirecye et du Ḵh̲wārazm à l’Est jusqu’à l’Anatolie, la Syrie et le Ḥid̲j̲āz à l’Ouest. Du noyau de ce qui allait être l’empire des Grands Sald̲j̲ūḳs, des lignées subordonnées de la famille des Sald̲j̲ūḳs se maintinrent dans des régions comme le Kirmān (jusque vers la fin du VIe/XIIe siècle), la Syrie (jusqu’au début du VIe/XIIe siècle) et…

Rūdakī

(1,218 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(exactement Rōd̲h̲akī, arabisé en al-Rūd̲h̲akī), le plus grand poète persan de la première moitié du IVe/Xe siècle, auteur des plus anciens fragments significatifs conservés de la poésie persane. Al-Samʿānī l’appelle Abū ʿAbd Allāh Ḏj̲aʿfar b. Muḥammad b. Ḥakīm b. ʿAbd al-Raḥmān b. Ādam al-Rūd̲h̲akī al-s̲h̲āʿir al-Samarḳandī, et le fait naître à Rōd̲h̲ak. faubourg de Samarḳand où il serait mort en 329/940-1. On a toutefois des raisons de penser que cette date doit être repoussée de quelque dix ans (voir la dis…

Sūzanī

(283 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, ou mieux Sōzanī, Muḥammad b. ʿAlī (ou Masʿūd?) al-Samarḳandī, poète satirique persan du VIe/XIIe siècle. Originaire de Nasaf (Nak̲h̲s̲h̲ab), il fut le panégyriste de plusieurs souverains ḳarak̲h̲ānides de Samarḳand, d’Arslān S̲h̲āh Muḥammad II (495-vers 523/ i 102-vers 1129) à Ḳi̊li̊č Tamg̲h̲āč Ḵh̲ān Masʿūd II (vers 556-74/vers 1161-78), ¶ mais aussi de plusieurs ṣadrs burhānides de Buk̲h̲ārā [voir Ṣadr. 1], du Sald̲j̲ūḳide Sand̲j̲ar [ q.v.], etc. Dawlats̲h̲āh, qui paraît avoir vu le tombeau de Sūzanī à Samarḳand, déclare qu’il mourut en 569/1173-4, et ajo…

Sīn et S̲h̲īn

(1,181 words)

Author(s): Blois, F. C. de
, les 12e et 13e lettres de l’alphabet arabe. Les deux lettres ont la même forme ( rasm), qui dérive de celle de la lettre araméenne s̲h̲īn, et ne se distinguent que par le diacritisme : le s̲h̲īn a trois points au-dessus, tandis que le sīn est en principe non-ponctué ( muhmal). Toutefois, dans des manuscrits soignés, il peut se distinguer par un chevron au-dessus, ou encore par trois points au-dessous. Dans la forme orientale de l’ abd̲j̲ad [ q.v.], le sīn occupe la position du semkat̲h̲ araméen et, comme lui, possède la valeur numérique 60; le s̲h̲īn a pour sa part la position du s̲h̲īn araméen (…

Zīd̲j̲

(15,007 words)

Author(s): Blois, F.C. de | Samsó, D.A. King and J.
, dans le monde scientifique musulman médiéval, désigne un manuel d’astronomie contenant des tables et s’inspirant de modèles comme le Zīk-i S̲h̲ahriyār de la Perse sāsānide, le Sindhind [ q.v.] indien, et l’ Almageste et les Tables Pratiques de Ptolémée [voir Baṭlamiyūs] . Le zīd̲j̲ type pouvait comporter une centaine de feuillets de texte et de tables, mais certains sont beaucoup plus volumineux. La plupart des concepts se rapportant à l’astronomie et à l’astrologie sont clairement expliqués dans le Tafhīm d’al-Bīrūnī [ q.v.]. L’histoire des zīd̲j̲s islamiques constitue une pa…

S̲h̲ahristān

(460 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(p.) «province», «capitale provinciale», «[grande] ville». Le mot prolonge le moyen persan s̲h̲ahrestān, qui a les mêmes acceptions. Il se peut toutefois qu’il remonte encore au-delà à un vieux-perse hypothétique * xšaça-stāna-. En tout état de cause, il dérive de s̲h̲ahr [ q.v.] — ou de son ascendant — et de -stāna «lieu» (dans les composés); un s̲h̲ahristān est ainsi littéralement un «lieu de royauté», c’est-à-dire le siège du représentant d’un pouvoir monarchique (la capitale provinciale), et donc la région sur laquelle ce représentant exerce son a…

Sayfī ʿArūḍī Buk̲h̲ārī

(214 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, métricien et poète mineur persan à la cour tīmūride de Harāt pendant la seconde moitié du IXe/XVe siècle. Il est connu pour son manuel de prosodie persane ʿArūḍ-i Sayfī, achevé en 896/1491, et publié plusieurs fois en Inde, notamment avec une traduction anglaise et un volumineux commentaire dans H. Blochmann, The prosody of the Persians according to Saifi, Jami, and other writers, Calcutta 1872. Cet ouvrage a joué un rôle important en rendant la théorie poétique persane accessible aux étudiants européens. Mais depuis que des textes plus anciens et plus a…

Tansar

(432 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, Kitāb, «la Lettre de Tansar», traité politique de la Perse sāsānide, connu dans le monde musulman par une traduction en arabe, probablement d’Ibn al-Muḳaffaʿ [ q.v.], d’un original en pahlavi perdu aujourd’hui. Elle est censé avoir été écrite par «Tansar» (une lecture erronnée, de l’écriture pahlavi, pour Tusar, peut-être une abréviation de *Tus-artēs̲h̲tār, en avestique Tusa-raθaēštar — «T. le guerrier»), grand prêtre du premier roi sāsānide, Ardas̲h̲īr Ier (vers 224-40), et adressée à Gus̲h̲tāsp, roi du Ṭabarīstān, pour l’encourager à se soumettre à Ardas̲h̲…

S̲h̲ahīd

(569 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(ou peut-être mieux S̲h̲uhayd) b. al-Ḥusayn al-BALK̲H̲Ī al-Warrāḳ al-Mutakallim, Abū l-Ḥasan, philosophe et poète en persan et en arabe, mort (selon Yāḳūt, suivi par al-Ṣafadī) en 315/927. Il était le contemporain et l’ami proche du polygraphe Abū Zayd al-Balk̲h̲ī et du théologien muʿtazilite Abū l-Ḳāsim al-Bak̲h̲ī [voir al-Balk̲h̲ī] (les trois Balk̲h̲ī ont fait l’objet d’une biographie conjointe utilisée par Yāḳūt), et l’adversaire farouche du célèbre philosophe Abū Bakr al-Rāzī [ q.v.]; ce dernier écrivit une réfutation de S̲h̲āhīd sur le plaisir ( lad̲h̲d̲h̲a) et une autre…

Yāʾ

(897 words)

Author(s): Blois, F.C. de
, 28e lettre de l’alphabet arabe, ayant pour valeur numérique 10. Il représente la semi-voyelle y et la voyelle longue ī, que les grammairiens analysent comme un i bref ( kasra) plus un yāʾ. A propos du ī final abrégé devant le hamzat al-waṣl, voir Wāw. Le yāʾ est employé également, comme le alif et le wāw,¶ en tant que «support» d’un hamza [ q.v.] en finale ou en médiane, ce qui probablement reflète la perte du hamza de l’ancien dialecte ḥid̲j̲āzī, dans certaines positions avec des glissements concomitants. Placé en fin de mot, l’ alif maḳṣūra (c’est-à-dire: ā long non suivi du hamza) s’écrit pa…

S̲h̲ahr

(161 words)

Author(s): Blois, F.C. de
(p.), «ville». Le mot remonte au vieuxperse xšaça- (cf. avestique xšaθra-, sanskrit kṣatrá-; tous de la même racine que le néo-persan s̲h̲āh [ q.v.] «pouvoir royal, rayante», puis «royaume». Ce dernier est encore l’acception usuelle du moyen-persan s̲h̲ahr, et survit dans le S̲h̲āh-nāma, notamment dans des expressions ¶ comme s̲h̲ahr-i Ērān (employé pour cause de mètre au lieu d’ Ērān-s̲h̲ahr «royaume des Aryens», appellation officielle de l’empire sāsānide), s̲h̲ahr-i Tūrān, s̲h̲ahr-i Yaman, etc. Or dès les plus anciens textes en néo-persan, le sens normal et bien…

Taḳī al-Dīn

(415 words)

Author(s): Blois, F.C. de
Muḥammad b. S̲h̲araf al-dīn ʿAlī al-Ḥusaynī al-Kās̲h̲ānī, appelé généralement Taḳī Kās̲h̲ī, érudit perse du Xe-XIe/XVIe-XVIIe siècles. Il fut élève du poète Muḥtas̲h̲am Kās̲h̲ī, dont il édita le dīwān. Il est célèbre pour son recueil monumental de poésie persane Ḵh̲ulāṣat al-as̲h̲ʿār wa-zubdat al-afkār, dont la première version fut achevée en 993/1585 et la seconde version étendue en 1016/1607-8. Il rassembla des notices sur beaucoup plus de 600 poètes depuis le Ve/XIe siècle jusqu’aux contemporains de l’auteur, avec pour chacun une biographie détaillée, suivie d…

Sīmurg̲h̲

(570 words)

Author(s): Blois, F. C. de
(p.), nom d’un oiseau mythique. Deux passages de l’ Avesta font allusion à l’«oiseau Saēna-» ( marayō saēnō; Yaišt, 14/41) ou à l’«arbre de Saēna-» ( vanam yam saēnahe; Yašt, 12:17). Ce dernier passage spécifie que cet arbre se tient au milieu du lac Vourukasa, que son nom est «Tous-remèdes» et qu’il porte les semences de toutes les plantes. Le mot saēna- est étymologiquement identique au sanskrit śyēiá-, «aigle, faucon». Mais il ne ressort pas clairement des deux passages avestiques qu’il désigne une espèce déterminée d’oiseau (encore que Saēnaapparaisse ailleurs dans l’ Avesta comme …
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